• ZZ 19

    Z 7100

    Voie 4 
    ZZ19 nouveauEspace 20 pixelsEspace 20 pixelsEspace 20 pixels   
      Sur la voie 4 :1 autorail ZZ 19 quitte La gare de Lens - oo oo -   Z 7100 (2) Z 7100 (2)  
           
    Image Voie 1 Depot Vers les locos
     ZZ 19
        Constructeur ANF  Poids: 61 tonnes  300 ch     
           

     

     

       
        Vitesse  80km/h   
           
      Autorail à vapeur ZZ19 du Nord, réalisé par les Ateliers du Nord (ANF) sous licence Sentinel. Équipé de deux moteurs à vapeur à 6 cylindres simple expansion, l’autorail ANF symbolise une traction vapeur très sophistiquée — par exemple, des cellules photoélectriques contrôlant la flamme des brûleurs au fuel. En 1937, la chaudière est modifiée pour la chauffe au charbon. Décoration vert wagons, zone de visibilité frontale gris clair métallisé

     En exergue ZZ2NF 1001 : une « Sentinel » pour protéger la vapeur L’autorail moderne voit le jour dans les années 1930, à une époque où la domination du moteur à combustion interne alimenté à l’« huile lourde » — comme on appelle le diesel à l’époque, n’est pas encore acquise. La vapeur, notamment, n’a pas encore tiré toutes ses cartouches et des investigations alors en cours laissent supposer qu’elle a encore un bel avenir. Prototype réalisé par De Dietrich (aujourd’hui Alstom DD) à 4 générateurs-moteurs système Erwin Schwander. Mais n’oublions pas non plus l’autre « famille » d’autorails à « chaudière spéciale », réalisé dès 1935 par ANF (aujourd’hui Bombardier) d’abord pour le Nord — intéressé par les performances des autorails anglais Sentinel de Nigel Gresley. Développant 300 ch mais lourd (61 t en charge) et limité à 80 km/h, cet autorail « système Sentinel » est d’abord équipé d’une chaudière à fuel lourd Woolnough alimentée par un brûleur automatique Wallsend et une pompe également automatique puisant l’eau dans deux caisses à eau installées à l’extrémité opposée dans le fourgon. Contrôlé par un dispositf d’homme-mort, la conduite à agent seul est rendue possible en toute sécurité par des solutions sophistiquées telles que des cellules photo-électriques contrôlant la flamme du brûleur ! La vapeur surchauffée alimente deux moteurs placés sous le plancher à 6 cylindres simple expansion et distribution par soupapes. Pour parfaire cette fine mécanique, la transmission est assurée sur les deux essieux d’un bogie par accouplements élastiques et joint de cardan ! Silencieux, cet autorail ANF de 56 places est apprécié par les voyageurs de la ligne Compiègne/Villers-Cotterêts. En 1937, après un parcours de 100 000 km, la chauffe au fuel est remplacée par la chauffe manuelle au charbon. L’extrémité « chaudière » est allongée pour caser une soute à combustible et une aire de travail pour le chauffeur. Le mécanicien, pour sa part, dispose de deux postes de conduite selon le sens de marche. Après 1938, la SNCF renumérote l’engin ZZ2 NF 1001, avant qu’il parte, en 1946, sur le réseau privé des Houillères du Bassin du Nord et du Pas-de-Calais. Au paravant, le centre d’essais SNCF de Versailles-Matelots avait reçu deux autres autorails à vapeur ANF ZZ NF 1101 et 1102 qui seront démolis pendant la guerre. C’est dans cette livrée que roule à la SNCF région Nord, sur l’Étoile de Compiègne, le ZZ2 NF 1001, avec sa robe vert foncé et sa plaque de visibilité frontale en aluminium laissée brute d’usinage ou peinte en blanc. Notez le moderne attelage automatique Willison. Photo prise en 1937, peu avant la transformation pour la chauffe au charbon. 

     

     

    Ref Google Map Saint Etienne   
     

    8 Eight Union Pacific Engines B40-8's

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